Bloodshed
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 Exemple pour le choix 1 : Ludwig Cromwell

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AuteurMessage
Ludwig J. Cromwell
Gentleman & Bras droit de Calypso † Admin
Ludwig J. Cromwell


Masculin Nombre de messages : 54
Age : 34
Age du personnage : 419 ans
Condition de vie : Vampire Tyran
Humeur : Overpowering
Localisation : Londres
Particularité : Duplication
Citation : Les femmes sont fausses dans les pays où les hommes sont tyrans. Partout la violence produit la ruse.
Caractère : Imperceptible, aimable, joueur, espiègle, destablilisant, déterminé, observateur, rusé, puissant, respectueux, gentleman, sauvage ...
Relations : - Les femmes, pour le plaisir et me nourrir.
- Adonis Nox, un ami de vieille date.
- Isleen McKeller, une relation ambiguë...
Date d'inscription : 28/06/2008

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MessageSujet: Exemple pour le choix 1 : Ludwig Cromwell   Exemple pour le choix 1 : Ludwig Cromwell EmptyDim 6 Juil - 1:44

Fiche de présentation :


Choix 1 :



    Avatar : Jonathan Rhys Meyer
    Nom : Cromwell
    Prénom : Ludwig
    Age : 420 ans, 20 en apparence
    Condition de vie : Vampire indépendant

    Caractère :
    Imperceptible au premier abord, une fois quelques échanges fait, il semble être tout ce qu’il y a de plus aimable. Cependant ce n’est qu’une image qu’il aime se donner. Joueur, il est espiègle et a un caractère bien trempé. A lui seul il pourrait incarner six des sept péchés capitaux en excluant la paresse. Il aime à déstabiliser ceux qui l’entourent, plus encore ses victimes. Il est ce qu’il peut y avoir de plus déterminé, surtout lorsqu’il s’agit de boire du sang. Il est également très rusé et observateur.
    Ludwig Cromwell aime a se donner des apparences de Gentleman, cependant il se trouve avoir ce côté sauvage lorsqu’il tue des humains pour diner, qui sont toutes des femmes pour la plus grande partie du temps. Il ne tutoie en aucun cas les gens qu’il rencontre, même les femmes qu’il va tuer, il utilisera toujours le « vous », même avec ses pires ennemis.
    Pour résumer, Sir Ludwig partage un bon équilibre entre défauts et qualités, en s’efforçant de toujours faire ressortir ce qui peut l’avantager, ce qui peut tromper l’œil, ce qui perdra les autres en restant au près de lui. De tous les vampires, il en est un des plus anciens, il a donc le respect des autres, et une certaine tendance aussi à s’en vanter.



    Physique :
    Ludwig mesure plus d’un mètre quatre-vingt, il est fin et musclé. Sa peau est naturellement blanche étant donné sa condition, tout comme ses dents qui sont parfaite, sans défauts. Son regard est perçant, il est gris, mais devient d’un ocre très sombre lorsqu’il a soif. Il a une chevelure noire, quant à sa longueur, elle varie selon ses humeurs. Elle peut être très courte, comme lui arrivant aux oreilles, il modifie en fonction des siècles, des tendances et de ses humeurs. Ses lèvres sont parfaitement dessinées sur son visage sans imperfections. Est-il utile de préciser qu’il éblouit malgré le regard sombre qu’il vous tient souvent ?
    Question vestimentaire, il a toujours aimé rester dans l’élégance et le classique. Une manière d’attirer le sang féminin plus facilement. Il a toujours su qu’une femme ne résistait pas à un homme bien habillé, cela même en fonction des siècles qui se bousculaient.
    Il ne porte pas de bijoux, sauf peut être une montre, un gros bijou. Sinon il n’aime pas beaucoup les bijoux, même s’il trouve que ça embelli une femme. Il n’a aucun tatouage, ou autre piercing, chose qu’il déteste dans le siècle actuel.



    Histoire :
    26 Décembre 1588, la neige tombait dehors. Ludwig Cromwell venait de naitre. Comme tous parents ayant leur premier enfant, ce fut le bonheur complet. Deux ans après lui, ses parents eurent des jumelles, Elizabeth et Anne. Le couple Cromwell faisait partie de la Noblesse Anglaise. Ils ne manquaient donc pas d’argent.
    Ludwig et ses sœurs grandirent sans le luxe si on peut le dire. Un amour étouffant, des choses merveilleuses à ne plus pouvoir respirer correctement dans un château du Sud Ouest de l’Angleterre. Cependant, le jeune garçon aimait tout cela.
    Le garçon, d’année en année devenait de plus en plus vaniteux, orgueilleux, avare, et perfide. Il avait tout ce dont il pouvait désirer, des besoins matériels, aux femmes une fois que l’âge le lui permis.

    A l’adolescence il se révélait être ce que l’on peut dire d’un jeune homme digne de son rang. Il se comportait dignement en société, suivait au pied et à la lettre les dires de son père, un homme important de la société. Un politicien. Il avait entreprit depuis quelques années de traquer des vampires qui roderaient dans la ville, ils habitaient Plymouth. Derrière ses traits de fils digne, Ludwig s’intéressait de très près aux avancées de son père. Il savait donc comment déceler un vampire, où le trouver.
    Ces créatures le fascinaient, mais plus encore leur immortalité. Il ignorait comment son père savait tout cela. Peut importe, il voulait trouver un vampire, il voulait en devenir un.
    Ses recherches durèrent plusieurs années. Jusqu’au jour où il fit la rencontre d’une jeune femme. Louise était son prénom. Elle avait un magnifique visage. Elle n’était pas une vampire, Ludwig en avait conscience, mais au premier regard il en tomba amoureux, il avait dix-neuf ans. Il se trouvait qu’elle était de bonne famille et qu’elle éprouvait les mêmes sentiments que lui. Subjuguer par cette femme, il en abandonna sa quête aux vampires.
    Deux mois plus tard ils étaient mari et femme. Ils s’étaient installés dans un magnifique manoir. Tout laissait à croire qu’ils étaient heureux.
    Ludwig a toujours été bon cavalier, nombreuses étaient donc les balades qu’il s’offrait en forêt. Louise n’aimait pas monter à cheval. Cela l’arrangeait quelque part, car il avait tendance à utiliser des sentiers dangereux. Il aimait la vitesse et les risques.
    Un jour il traversa une clairière ensoleillée. Ce jour là, il en était pas sûr, mais il cru voir une ombre traverser à toute vitesse dans la pénombre de la forêt. Il s’imagina que ce n’était rien d’autre qu’une biche qui devait avoir flairé son odeur et pris la fuite.
    Mais plus les jours passaient, plus des éléments étranges - mais pas tant que ça pour lui – se laissaient voir. Une disparition étrange, une femme, puis deux hommes qui étaient extraordinairement beaux. Ludwig ne saisit pas sur le champ. Puis il comprit, des vampires étaient présents en ville. Sont père, s’ils n’étaient pas assez prudent allaient tous mourir par sa main. Il y a quelques années, son père avait tué quelques vampires, menaçant les autres s’ils ne quittaient pas la ville. Mais l’appel du sang devait être plus puissant.
    Ludwig, prit le soin de les surveiller, avec prudence. Après un entretient avec son père il su que plusieurs des vampires étaient sur le point de se faire attraper.
    Il voulait suivre et éviter le massacre que son père s’entêtait à faire, mais sa femme, Louise lui retira cette idée. Elle n’était pas au courant qu’il avait une fascination pour ces créatures.
    Les jours passaient, encore et toujours, Ludwig poursuivaient ses journées aussi banales les unes que les autres. Se lever, manger, passer pour un tyran à la cours royale d’Edouard VI, revenir, être avec sa femme, manger, dormir. Il n’y avait rien d’excitant. Pourtant il aimait Louise, et son rôle tyrannique aux côtés du roi, mais ses exigences étaient supérieures à cette banalité humaine. Malgré ses journées d’un ennui mortel, il avait repéré une des femmes vampires qui figurait sur le tableau de chasse de son père. Elle était d’une beauté divine. Comment son père ne pouvait-il avoir aucun scrupule à tuer une créature aussi belle ? Sur ses gardes il entreprit de la suivre, de la surveiller. Cela pendant une semaine. Elle se montrait souvent en publique, se laissant trahir par ses aspects de vampire, que seul Ludwig saisit.
    Un soir elle se dirigeait dans un pub du quartier. Il la suivit, priant qui bon l’entendra pour que Louise ne s’inquiète pas, il était déjà tard. Il s’assit à une table, dans le fond, où il voyait tout le monde, la jeune femme en particulier. Elle était insouciante de se qu’elle risquait. Elle était seule à une table, après quelques minutes, il la rejoint. Elle ne le regardait pas, mais semblait l’avoir sentit venir.


    - Puis-je ?
    - Si vous n’avez pas peur que je vous morde je vous en prie.


    Le doute s’installa. Disait-elle ça pour lui faire peur ou parce qu’elle savait quel était sa condition ? Il sourit, s’installa.

    - Une morsure d’une si charmante femme ne serait pas déplaisant.
    - Priez pour que je ne prenne pas vos mots au pied de la lettre.
    - Je suis sincère ...


    Elle se redressa, plongeant son regard si sombre, mais si envoutant dans celui de Ludwig. Elle avait compris. Compris qu’il était au courant de sa condition. Elle croisa les jambes, et le bout de son pied effleura le genou de Ludwig. Il frémit de ce contact. Elle sourit, elle était déstabilisée.

    - Avez-vous peur ?
    - Le serai-je en étant venu ici ?
    - Qu’attendez-vous de moi ?
    - Une morsure, peut-être ?
    - Vous n’êtes pas sans savoir que je peux ne pas me contrôler ?
    - C’est là que ça devient excitant.


    Elle ne dit rien de plus. Il comprit que c’était maintenant qu’il devait poser sur table son pacte. Un sourire en coin se dessina sur son visage encore animé de couleurs. Il posa ses coudes sur la table, entrecroisa ses doigts, et fixa la femme.

    - Vous êtes sur le tableau de chasse de Cromwell, mon père, il sera sans pitié avec vous. Vous n’êtes pas très difficile à trouver de plus. Vraiment pas très malin pour un vampire non ?

    Elle se redressa encore plus au son du mot « vampire ». Le regard de Ludwig était devenu brillant de malice.

    - Quel est votre plan ?
    - Vous me mordez, je vous débarrasse de toutes menaces.
    - Qui me dit que je peux vous faire confiance ?
    - Vous mourrez d’envie de gouter à mon sang, je l’ai remarqué.


    Elle ne dit rien. Elle ferma ses paupières, en signe de consentement. Elle se leva, Ludwig paya la note et ils sortirent du pub.

    Ils se trouvaient dans une impasse très peu fréquentée. Tout se passa si rapidement, que si l’on demandé à Ludwig comment cela s’était passé il aurait feintée la question par une autre.
    Les jours suivant, Ludwig ne les vit pas passer non plus. Comme promis, il alla voir son père pour lui soumettre de cesser cette chasse aux vampires. Il ne daigna y remédier. Sa transformation encore nouvelle, il eut du mal à contrôler sa soif. Il méprisait son père, ce fut l’élément décisif de son acte.
    Il se jeta sur son géniteur, savourant son premier repas de sa longue vie qui venait de recommencer.
    Bien sûr, cette mort sauvage d’un homme important de la région retourna une grande partie de ses habitants, sauf Ludwig. Louise, persuadée qu’il se refusait de se montrer faible, n’en fit rien. Mais le problème était autre. Ludwig avait prit gout au sang. Il s’était pensé plus fort qu’il ne l’était. Il devenait distant avec son épouse. L’envie était trop forte. Un soir, dans le lit conjugal l’envie était incontrôlable. Il s’y prit néanmoins de manière plus douce qu’avec son père. Caressant son dos, il remonta à sa nuque. Elle ne disait rien, comme heureuse de se rapprochement. Si seulement elle savait...
    Il huma son odeur, savoura cet instant, y posa ses lèvre dans un coin du cou, lécha cette partie, avant d’y planter ses dents. Elle cria, il s’en réjouit. Une fois vidée de son sang, il quitta le manoir, il avait encore soif. Il se sentait devenir un monstre, un démon, mais il y prenait gout. Il se rendit chez sa mère. Il avait prit le soin de se changer, de paraître parfait, comme toujours. Le gout du sang de sa chère et tendre résidait encore dans sa bouche. Ce gout de rouille salée, il l’aimait. Plus encore que l’amour de sa défunte de femme. Sur le chemin, il prit conscience qu’il était veuf. Mais pouvait-il vraiment l’être ? Il avait tué sa femme, et ne faisait plus vraiment partie des vivants...
    Il faisait nuit noire. Sa mère allait trouver étrange qu’il vienne lui rendre visite si tard. Peu importe. Il cogna à la porte. Sa mère était en chemise de nuit.


    - Ludwig ? Que se passe-t-il ?
    - J’ai soif ...
    - Euh ... Mais ... Viens, entre ...


    Ce fut ses derniers mots. Il était incontrôlable. Les jumelles étaient également là. Dommage pour elles.
    Une fois rassasié, il s’exila dans le Nord de l’Angleterre.
    Durant un siècle il essaya de contrôler sa soif, ses transformations. Il ne se sentait pas coupable d’avoir tué toute sa famille. Il l’oublia même. Au fil des années, il découvrit que le sang des femmes était meilleur que celui des hommes. Quelque chose de plus raffiné, de plus doux s’y trouvait. Ce qui ne l’empêchait pas de boire un peu de celui des hommes. Celui des hommes le rassasiait plus vite.
    Le temps passaient, il ne s’en rendit pas compte, même s’il était obligé de suivre le changement d’époque. Vestimentaire surtout, car il risquait de se trahir sinon.
    Il se découvrit une faculté en plus de celles des vampires en temps normal.
    Il pouvait se dupliquer. Cela lui était très favorable, surtout lorsqu’il s’agissait de chasser.

    Un siècle plus tard, Ludwig contrôlait tout de ses changements qu’il avait subit. Jamais il n’a revu celle qui l’avait créée.
    Un jour de chasse, vers 1900, il se trouva en rivalité avec un autre vampire. Leur proie : Une femme. Ludwig ne buvait que du sang féminin lorsqu’il le pouvait. C’était à celui qui serait le plus rapide, mais un autre les devança. Les deux vampires s’allièrent pour tuer ce prédateur nuisant à leur chasse. Ce fut un jeu d’enfant de le tuer. Naquit par la suite une amitié, ou tout du moins un profond respect de l’autre entre les deux hommes.
    Ils se revirent au court de quelques chasses, mais ils n’étaient en aucun cas à se coller. Jamais Ludwig ne l’aurait accepté, il pensa que lui non plus.

    Aujourd’hui, Ludwig vagabonde en Angleterre, en France, parfois dans d’autres pays Européens. Il a tendance à rester en Europe. Simple question de gouts. Les femmes européennes, il les aimait autant qu’elles l’aimaient, voir même plus. Il s’est trouvé un jeu, celui de déstabiliser ses victimes, de troubler et semer la terreux au sein des familles. Il est sans pitiés, il se fiche de savoir si la femme qu’il va tuer est mère ou marié. Très peu lui importe sur la condition de la femme humaine, si elle arrive à combler ses besoins alimentaires.
    Bien sûr, Sir Cromwell a développé une passion pour le luxe au fil des siècles, ce qui, de nos jours, l’amène à se montrer tout à fait respectueux des grands hommes de la haute société actuelle.
    Sa vie jusqu’à présent se résume à peu près à ça, mais bien sûr, il y a tant de choses à savoir d’un vampire, aussi vieux que Ludwig Cromwell, que toute une vie de simple mortel ne suffirait pas.



    Signe particulier : Duplication.
    Spoiler:

    Petit plus HJ :

    Votre âge: 18 ans
    D’où avez-vous connu le forum : Rolling Eyes


Dernière édition par Ludwig Cromwell le Lun 7 Juil - 22:08, édité 2 fois
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